Longtemps l'adultère fut considéré comme une faute grave mais cette cause n'est plus vraiment prise en compte lors d'un jugement.
Le fait de ne pas vouloir participer dépenses de la famille surtout dans le cas où il y aurait des enfants s'avère être une faute exceptée dans le cas où celui des deux époux ne voulant pas participer se retrouve avec des revenus faibles en ayant par exemple perdu son emploi, il sera exclu les personnes étant responsable de leur état tel que la prise de stupéfiants.
Les actes de malhonnêteté ainsi que les vols peuvent être aussi considérée comme des fautes sachant toutefois que le vol entre époux ne soit pas reconnu pénalement.
L'abandon du domicile depuis au moins deux ans excepté les cas où la personne (généralement des femmes) se retrouvent à subir des violences morales ou physiques.
Bien que cela peut surprendre, le fait de ne pas vouloir faire l'amour peut être considéré aussi comme une faute.
Le fait de porter des accusations ou des propos diffamatoires visant à nuire l'image du conjoint ou le fait de commettre des indiscrétions sont des fautes.
Certaines fautes si nommées dessus ne pourront pas être recevables auprès du juge si celle−ci provient d'un changement de comportement du à une maladie telle que les chocs post−traumatiques ou des états de démences, idem si le conjoint subit des comportements agressifs ou des violences morales provenant de l'adultère, le juge pourra considérer que celui ci pourrais être à l'origine de ce comportement et ne retiendra pas cette faute.
Dès que le dossier arrive dans les mains du juge il est impératif que le plaignant apporte des témoignages écrits tels que des attestations.
Le fait de ne pas vouloir participer dépenses de la famille surtout dans le cas où il y aurait des enfants s'avère être une faute exceptée dans le cas où celui des deux époux ne voulant pas participer se retrouve avec des revenus faibles en ayant par exemple perdu son emploi, il sera exclu les personnes étant responsable de leur état tel que la prise de stupéfiants.
Les actes de malhonnêteté ainsi que les vols peuvent être aussi considérée comme des fautes sachant toutefois que le vol entre époux ne soit pas reconnu pénalement.
L'abandon du domicile depuis au moins deux ans excepté les cas où la personne (généralement des femmes) se retrouvent à subir des violences morales ou physiques.
Bien que cela peut surprendre, le fait de ne pas vouloir faire l'amour peut être considéré aussi comme une faute.
Le fait de porter des accusations ou des propos diffamatoires visant à nuire l'image du conjoint ou le fait de commettre des indiscrétions sont des fautes.
Certaines fautes si nommées dessus ne pourront pas être recevables auprès du juge si celle−ci provient d'un changement de comportement du à une maladie telle que les chocs post−traumatiques ou des états de démences, idem si le conjoint subit des comportements agressifs ou des violences morales provenant de l'adultère, le juge pourra considérer que celui ci pourrais être à l'origine de ce comportement et ne retiendra pas cette faute.
Dès que le dossier arrive dans les mains du juge il est impératif que le plaignant apporte des témoignages écrits tels que des attestations.
la conciliation reste la première étape obligatoire avant la poursuite du jugement, celle−ci est faite conjointement entre le juge et les deux parties, dans un premier temps chacun des époux sera auditionné individuellement cette audition se fera entre les époux. Il est à noter que lors de sa conciliation, toute les conversations ainsi que les écrits ne pourront être prises en compte pour la suite de la procédure.
La suspension de la procédure peut être décidée par le juge ou à défaut une seconde tentative de conciliation pourra être mise en place.
Une requête ne pourra être faite que par un avocat auprès du tribunal d'instance, celle−ci devra être détaillée et argumentée pour un premier temps obtenir des mesures provisoires telles que la pension alimentaire.
Le tribunal de grande instance sera attitré en fonction du lieu de résidence en cas de séparation déjà présente, celui−ci pourra dépendre aussi du lieu de résidence habituelle des enfants mineurs, en cas de résidence des deux époux dans un département différent ou ville éloignée il sera retenu le lieu de résidence initiale avant la séparation.
Le tribunal de grande instance sera attitré en fonction du lieu de résidence en cas de séparation déjà présente, celui−ci pourra dépendre aussi du lieu de résidence habituelle des enfants mineurs, en cas de résidence des deux époux dans un département différent ou ville éloignée il sera retenu le lieu de résidence initiale avant la séparation.